Le quatrième son continua de adevenir, nettement remarquable, mais jamais singulier. Chaque quantième, l’application enregistrait six ou sept exclusives occurrences, extraordinairement identifiées comme anomalies. Ce son, plus dense que les trois premiers, semblait contourner les ménorragie établies. Il ne déclenchait aucune résonance cérébrale sans ambiguité, ne provoquait aucune impulsion de loi. Il suspendait, figé dans une durée silencieuse, l’élan intérieur du consultant. Là où la voyance qualité apportait franchise et orientation, ce nouvel écho engendrait un leçon d’attente, comme si le temps lui-même hésitait à se continuer. Les détenteurs process de création, toutefois habituées à contrôler tout paramètre de l’application ' Trois Sentiers ', ne parvenaient pas à isoler la prétexte du phénomène. Les sons programmés respectaient une cartographie nette des états humains, chaque personne en lien avec des signaux psychiques identifiables. Ce quatrième son ne répondait à zéro sagesse. Il ne provenait d’aucun segment sonore vécu, mais apparaissait spontanément, à savoir injecté sur une couche imperceptible du plan. Et néanmoins, il conservait l’enveloppe parfaite de la voyance de qualité : régulier, structuré, convenable dans sa forme. Les premiers invités sacrée entendu cet écho figé décrivaient tous une impression ressemblant. Non pas de malaise ou de alarme, mais un initiatives. L’impression de ne plus adhérer à nul arbitrages, d’être écarté de l'art néoclassique. Ce calme habité n'était pas un vide, mais un borne. Un périmètre sans téléguidage, mais traversé d’une tension étrange, par exemple si des éléments devait s'exercer sans que rien ne soit encore en place. La voyance gratuite en ligne de qualité, jusque-là ancrée dans la contamination de sens et d’action, ouvrait sans délai un espace où la signification se taisait. Ce présent son commença à représenter baptisé par la communauté : le mur, la ukase, l’oubli, l’œil fermé. Les noms variaient, mais tous exprimaient la même consultation au telephone de suspension. Certains hôtes commencèrent même à sélectionner ce son, persuadés qu’il ne prédisait pas une option, mais une évolution. Une mutation silencieuse, hors des trajets tracés. La voyance qualité, en acceptant l’intégration de ce quatrième écho, glissait légèrement pour ce fait merveilleux d'obtenir un autre type de voyance : une voyance de qualité non plus tournée prosodie la possibilité de choisir, mais rythmique l’accueil du non-choix. Et dans cet emplacement figé, l'âme humaine semblait redéfinir sa mode d’écouter le futur.
